Dans la capitale belge, entre 2000 et 2010, le prix des logements a doublé. Pour les familles modestes habitant la ville, deux choix s’offrent souvent à eux : occuper des appartements exigus et insalubres ou s’éloigner du centre ville. Mais certains d’entre eux s’organisent et développent d’autres façons de se loger, à l’abri des logiques du marché.